vendredi 31 janvier 2014

Publicité de Budweiser au Super Bowl 2014 -- "Puppy Love"





Avec le temps, Budweiser a produit de véritables petits bijoux publicitaires.

Les Clydesdales de Budweiser (c'est le nom des chevaux que l'on voit dans cette publicité de Budweiser) ont été utilisés pour la première fois en 1933 pour célébrer la fin de la prohibition aux États-Unis.

Conscient du potentiel commercial des chevaux, August Anheuser Busch, Sr. en fait rapidement les porte-étendards de la marque Budweiser dans la communication publicitaire et le packaging de Budweiser.


Il s'agit ici d'ajouter un puppy pour faire d'une pub de bière un message fort évocateur dont la performance -- nombre de clics -- surpassent maintenant la cote d'écoute de nombreuses émissions présentées à la télévision en prime time.

mardi 28 janvier 2014

Publicités du Super Bowl 2014

Voici un avant-goût des publicités du Super Bowl 2014.

Dannon Oikos Greek - The Spill

Hyundai Genesis - "Dad's Sixth Sense"  

GoDaddy - Bodybuilder
  

Doritos - Finger Cleaner
  

SodaStream - Scarlett Johansson  

Audi Doberman - Chihuahua
  

Squarespace - A Better Web Awaits
  

Pepsi – Halftime
  

Coca-Cola - Football


GoldieBlox - "Princess Machine"

vendredi 24 janvier 2014

10 publicités légendaires du Super Bowl

Apple - 1984


Coca-Cola - Mean Joe Green


McDonald's - Larry Bird vs Michael Jordan The Showdown


Bridgestone - Carma

Victoria Secret - Adriana Lima


Volkswagen - The Force


Budweiser - Frogs


Doritos - Doritos gratuit


Noxzema - Farrah Fawcett et Joe Namath Noxzema (vintage)


Pepsi - Coke Guy Caught on Cam

jeudi 23 janvier 2014

10 meilleures pubs de Budweiser mettant en vedette les chevaux Clydesdales

Les campagnes de pubs qui utilisent un animal comme symbole du produit obtiennent généralement des résultats nettement supérieurs à la moyenne. « En rendant une personnalité célèbre, disait Claude Hopkins, vous rendez son produit célèbre. »

Prenons Budweiser, par exemple. Comme je le racontais à Gilles Parent du FM93 dans une entrevue consacrée au Super Bowl XLV, les Clydesdales de Budweiser (c'est le nom des chevaux que l'on voit dans les pub de Bud, spécialement durant le Super Bowl) ont été utilisés pour la première fois en 1933 pour célébrer la fin de la prohibition aux États-Unis.

Conscient du potentiel commercial des chevaux, August Anheuser Busch, Sr. en fait rapidement les porte-étendards de la marque Budweiser dans la communication publicitaire et le packaging.

Avec le temps, Budweiser a produit de véritables petits bijoux publicitaires. Voici mon TOP 10 pubs de Budweiser mettant en vedette les célèbres chevaux Clydesdales avec un prime un message vintage datant du début des années 70.
 

L'entraînement des chevaux de BudweiserLa recrue


L'âne de Budweiser



Le cheval et le chien



La bataille de « mottes de neige »



Budweiser : une histoire d'amour



Le zèbre



Séparés à la naissance



9/11 Budweiser



Campagne Vintage - commercial des Clydesdales de Bud




mardi 21 janvier 2014

Quelle est la valeur publicitaire d'Eugenie Bouchard ?



Il ne faudrait pas s’étonner que la jeune Québécoise Eugenie Bouchard, qualifiée pour les demi-finales des Internationaux d'Australie, reçoive dans les prochaines semaines des propositions d’annonceurs soucieux de s’associer à la nouvelle coqueluche des médias sportifs. Déjà, on parle d'une possible association avec un fabricant de montres.

En commanditant une athlète comme Eugenie Bouchard et en s’associant à un sport comme le tennis féminin, un produit ou un service augmentera à coup sûr sa visibilité et son capital de sympathie, deux éléments particulièrement importants en communication-marketing.  

L'agent d'Eugenie Bouchard, Sam Duvall, pense d'ailleurs que l'athlète originaire de Montréal a le potentiel pour devenir le visage du tennis. Comme il le mentionne au quotidien The Age : « Sur le plan marketing, je pense qu'elle peut devenir la joueuse de tennis le plus célèbre au monde. » 

Il est vrai que Madame Bouchard incarne la nouvelle génération de joueuse du tennis, habile sur le terrain sportif et le terrain de la communication - bilingue, à l'aise à la télévision, présente sur les médias sociaux et les nouveaux médias, etc.
  
Pour cette raison, on peut penser qu’Eugenie Bouchard cherchera à maximiser les éléments suivants : exclusivité d’association, visibilité à long terme sur le matériel publicitaire et promotionnel, visibilité sur les produits, occasions d’actions de relations publiques et d'affaires, etc. 
 
Les critères permettant d’évaluer le montant potentiel des commandites sportives de la star du tennie seront nombreux :
  1. Nombre de spectateurs : la WTA attire 5 millions de spectateurs annuellement dans ses 53 tournois présentés dans 33 pays.
  2. Visibilité de l’événement dans les médias : grâce à ses athlètes provenant de 90 pays, on estime que la WTA obtient une couverture équivalente à 7000 heures par an.
  3. Durée de la visibilité : au total, la WTA génère 44 semaines de visibilité annuellement.
  4. Présence sur Internet : on compte 11 millions de visiteurs uniques sur le site www.wta.com chaque année.
  5. Profil de l’amateur de tennis féminin : 45 % féminin / 55 % masculin ; 38 % dans la tranche des 18-34 ans.
  6. 69 % ont fréquenté l’université.
  7. 48 % font du sport.

À l'évidence, les entreprises seront prêtes à débourser des sommes importantes pour s'associer à Eugenie Bouchard. Surtout si celle-ci multiplie les victoires sur le terrain, condition sine qua non du succès commercial.

lundi 13 janvier 2014

Virage numérique pour le quotidien Le Devoir



L’industrie des médias papiers est en crise et le lancement prochain d’une édition numérique payante du journal Le Devoir pour la tablette numérique iPad, le confirme une fois de plus.

Le Devoir vient s’ajouter aux autres plateformes quotidiens comme La Presse+.

En faisant le pari du PAYANT, Le Devoir se distance de La Presse+ qui a privilégié le GRATUIT au Québec.

Pour la plupart des journaux papier à travers le monde, la solution priorisée pour faire face aux baisses de tirage -- et donc aux baisses de ventes de publicité -- réside dans la formule « site payant d’information ».

Au Canada, le Globe and Mail est un bon exemple de ce mouvement général. Il faut dire que le succès du New York Times, du Financial Times et du Wall Street Journal ont eu un effet d'entraînement sur plusieurs autres quotidiens à l’échelle nord américaine.

Le Wall Street Journal a été le premier à imposer un abonnement payant, en 1997. Aux États-Unis, selon le Poynter Institute, on évalue à environ 16 % la proportion des journaux qui ont instauré l'abonnement payant sur le web.

Ceci dit, à l’usage, l’option payante sur le Net est efficace quand un quotidien offre un contenu spécialisé, exclusif et/ou international comme c’est le cas avc le journal Le Devoir. En effet, on sait que les gens ne paieront pas pour accéder à des nouvelles générales, ce qui joue contre les médias généralistes basés sur le scoop et la nouvelle de la journée.

Cette annonce du journal Le Devoir montre à quel point l’industrie de la nouvelle et de l'information a changé en quelques années.

D’abord avec l’avènement des chaînes de nouvelles en continue à la télévision qui ont eu pour effet de transformer la notion d’information et de rendre presque caduque le journal papier. Ensuite avec l’arrivée d’Internet et des médias sociaux qui permettent de s’informer instantanément à peu de frais. 

Au-delà de ces deux facteurs clés, plusieurs phénomènes expliquent le lent déclin des quotidiens : les quotidiens ont augmenté leur tarif, la classe moyenne a quitté les centres-villes, les jeunes lisent de moins en moins et un plus grand nombre de lecteurs affirment lire l’exemplaire de quelqu’un d’autre, que ce soit dans le restaurant, au bureau ou chez un ami.